Retour dans le monde des sorciers
lun, 12/12/2016 - 19:05 | Ajouter un commentaire
Longtemps attendu par de nombreux fans, le célèbre sorcier aux lunettes rondes était de retour dans les librairies françaises le 14 octobre 2016. Harry Potter et l'Enfant maudis est le huitième tome de la saga. Un dernier livre un peu différent car il s'agit du script d'une pièce de théâtre, dont l'histoire a été créée par J.K. Rolling, John Tiffany et Jack Thorne mais dont le texte n'a été écrit que par ce dernier. La pièce rencontre un succès fou à Londres, où elle se joue depuis l'été 2016, et à guichet fermé jusqu'à fin 2017. Allons à la rencontre de ce nouveau tome pas comme les autres.
Le livre commence là où Harry Potter et les Reliques de la mort se terminait, sur le quai de la célèbre voix 9 ¾, dix neuf ans après la bataille de Poudlard. Nous retrouvons tous nos héros mais nous faisons aussi la connaissance de leurs enfants, dont Albus Severus, le deuxième fils d'Harry Potter, qui s'apprête à intégrer l'école de sorcellerie. Ce nouveau personnage diffère bien de notre héros habituel, notamment parce qu'il ne trouve pas sa place dans l'établissement où son père a passé des années heureuses. Son amitié inattendue avec le fils de Drago Malefoy, Scorpius, vient s'ajouter à la longue liste des sujets de discorde qui séparent Harry et Albus. La relation compliquée entre le père et son fils, au cœur de l’intrigue, incite l’adolescent à se lancer dans une quête aux conséquences potentiellement catastrophiques pour le monde des sorciers.
Le temps file dans cette pièce, tout comme les pages que l'on tourne à un rythme effréné. Malgré la forme inhabituelle du livre, on fait vite abstraction des didascalies et des dialogues. On se laisse de nouveau emporter dans l'histoire de la saga, contents de retrouver ces bons moments passés au coin du feu à boire des bières au beurre, à manger des tartes à la citrouille et à s'entrainer à prononcer « Wingardium leviosa ». C'est avec bonheur que les lecteurs échaperont quelques heures au monde des moldus pour retrouver les personnages, les lieux et l'ambiance du monde des sorciers.
Harry Potter et l'enfant maudit de J.K. Rowling, John Tiffany et Jack Thorne, traduit de l'anglais par Jean-François Ménard, Gallimard, 2016.
Anaïs Godemet
Le livre commence là où Harry Potter et les Reliques de la mort se terminait, sur le quai de la célèbre voix 9 ¾, dix neuf ans après la bataille de Poudlard. Nous retrouvons tous nos héros mais nous faisons aussi la connaissance de leurs enfants, dont Albus Severus, le deuxième fils d'Harry Potter, qui s'apprête à intégrer l'école de sorcellerie. Ce nouveau personnage diffère bien de notre héros habituel, notamment parce qu'il ne trouve pas sa place dans l'établissement où son père a passé des années heureuses. Son amitié inattendue avec le fils de Drago Malefoy, Scorpius, vient s'ajouter à la longue liste des sujets de discorde qui séparent Harry et Albus. La relation compliquée entre le père et son fils, au cœur de l’intrigue, incite l’adolescent à se lancer dans une quête aux conséquences potentiellement catastrophiques pour le monde des sorciers.
Le temps file dans cette pièce, tout comme les pages que l'on tourne à un rythme effréné. Malgré la forme inhabituelle du livre, on fait vite abstraction des didascalies et des dialogues. On se laisse de nouveau emporter dans l'histoire de la saga, contents de retrouver ces bons moments passés au coin du feu à boire des bières au beurre, à manger des tartes à la citrouille et à s'entrainer à prononcer « Wingardium leviosa ». C'est avec bonheur que les lecteurs échaperont quelques heures au monde des moldus pour retrouver les personnages, les lieux et l'ambiance du monde des sorciers.
Harry Potter et l'enfant maudit de J.K. Rowling, John Tiffany et Jack Thorne, traduit de l'anglais par Jean-François Ménard, Gallimard, 2016.
Anaïs Godemet