Pour la Haute Cour de Cardiff, l’utilisation de la reconnaissance faciale en temps réel par la police trouve fondement dans le droit, et ne porte pas d’atteinte disproportionnée au droit au respect de la vie privée. Un juge français appliquant les mêmes principes de droit européen que le juge britannique ne saurait toutefois arriver entièrement aux mêmes conclusions : alors qu’il pourrait aussi estimer l’atteinte au droit des individus justifiée, il ne saurait passer outre l’absence de texte parlementaire.