Actuellement à l'écran


La CIA frappe de nouveau : voici la relève de Jason Bourne !!! sticky icon

Jason Bourne, vous vous souvenez ? Cet agent secret utilisé comme cobaye par la CIA pour un programme de conditionnement mental et physique, qui, transformant ses agents en véritables tueurs à gage sans pitié, non seulement lui avait fait oublier qui il était, mais l’avait transformé à son insu, en une impitoyable machine à tuer… Oui, ça y est, vous y êtes !

The Artist, le film qui nous confirme que le cinéma muet est toujours d'actualité sticky icon

       Une belle mise en abyme: le cinéma dans le cinéma ! Alors que le cinéma parlant fait son entrée à la fin des années 1920, le réalisateur Michel Hanazavicius aborde au travers de ce film muet réalisé en noir et blanc, la transition révolutionnaire du muet au parlant. C'est le personnage principal, Georges Valentin, acteur célèbre à Hollywood, interprété par Jean Dujardin, remarquable et talentueux autant dans son jeu d'acteur que dans sa dextérité corporelle, que nous suivons le cours de cette mutation cinématographique.

Holy Motors

 Monsieur Merde lèche l’aisselle d’Eva Mendès avant de l’entraîner dans les égouts. Ce rouquin répugnant, tout de vert vêtu, déambulant dans les allées du Père-Lachaise, est assurément une des images fortes de Holy Motors. Il bouscule, mange les fleurs, croque le doigt d’une femme et retourne dans les égouts. En réalité, ce personnage ne figure que dans une des douze scénettes que nous propose le réalisateur Leos Carax (Les Amants du Pont-Neuf,Tokyo).

OMAR M'A TUER

Affaire de meurtre, affaire criminelle, film policier et surtout dramatique, ceci est une histoire vraie.


Le réalisateur est le célèbre acteur Roschdy Zem, il avait pour rôle : Messaoud Souni, un tirailleur algérien dans le film Indigènes en 2006. Il s'associe à Sami Bouajila qui avait, dans ce même film, le rôle du Caporal AbdelKader. Ensemble, ils reviennent sur l'affaire criminelle la plus bouleversante des années 90.

Guillaume Canet & ses petits mouchoirs.

Les Petits Mouchoirs, réalisé par Guillaume Canet, sorti le 20 octobre 2010, était un film attendu. Le martelage médiatique, les affiches publicitaires, la promotion dans les journaux télé. La machine « promo-pub-presse » était en branle. En somme, tout ce qui m’insupporte dans la production cinématographique d’aujourd’hui, le principe de « bourrage de crâne » étant bien ancré dans la mécanique des producteurs et autres intervenants commerciaux.

Pieds nus sur les limaces, par F. Berthaud, avec Ludivine Sagnier et Diane Kruger


C’est un film qui commence par la mort pour finir par la vie. Un film qui nous transmet une énergie, une envie de vivre, de liberté.

L’illusionniste

D’après le scenario de Jaques Tati et porté à l’écran par Sylvain Chomet (réalisateur des Triplettes de Belleville), L’Illusionniste est une histoire touchante, pleine de poésie et de tendresse. Il s’agit de deux chemins qui se croisent. D’un coté Tatischeff, vieil illusionniste, chassé par le rock’n’roll  doit aller de plus en plus loin pour se produire, de l’autre, Alice jeune fille naïve rencontrée dans la compagne écossaise. Alice croit vraiment que le vieil illusionniste est un magicien, elle le suit jusqu’à Edimbourg où il les fait vivre.