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Critiques d'oeuvres imaginaires

Il s'agit, dans cette rubrique, de jouer avec la forme de la "critique littéraire", en l'appliquant à un auteur et/ou à une oeuvre inventés.

Modernes solitudes

En passant de la table de mixage à celle de l’écrivain, Zoé Perrin signe avec Anamorphoses un premier roman à la fois percutant et sensible, où la musique est là pour nous faire prendre la mesure des mots.

Le souffle de l'écriture

         Un voyage aux allures de quête  identitaire, une route longue et incertaine vers la liberté et en ligne d'horizon, l'écriture salvatrice. Avec Encre de vie, Maëlle Urvoy s'essaie, avec bonheur, au genre pourtant éculé du roman d'initiation.

« Quand je serai grande, je serai caissière ! »

On ne naît pas chômeur, on le devient

Avec ce premier roman, Fabrice Martini livre un témoignage sur le fil du rasoir, entre farce et vision sans concession de nos modèles de traitement social. Comment rester soi-même et résister au broyage des instances du chômage institutionnalisé chargées de vous "bigbrotheriser" ?

Entre absurdité et réalité, quelle justice dans La historia oficial de Pablo Ruiz Gonzalez ?

Tout commence à Concepcion, au Chili, dans les années 1970. Deux jeunes gens, Elena et Hans, s’aiment, depuis longtemps déjà, et envisagent de beaux projets d’avenir. La situation économique est difficile à cette époque, mais Hans vient d’être promu, ils peuvent donc se permettre de se lancer dans la recherche d’une petite maison. Un avenir heureux semble les attendre.

De l'art de ré-enchanter le monde

Dalwin, barde d’outre-monde de Richard Keridwen
 
De l’art de ré-enchanter le monde.
 
Richard Keridwen nous livre un premier roman surprenant, le sourire aux lèvres, tel un magicien tirant un lapin de son chapeau.

L’EXPERIENCE DU FEMININ selon Yulia Antonova

 
Après le sulfureux essai La femme, ce monstre qui a fait parler de lui à l’automne dernier, l’écrivaine russe prolixe et prodige Yulia Antonova revient à ses thèmes de prédilection dans Sé-xe-quelles ? en adoptant le genre du roman noir.

Bon point pour un enbompoint

«  Tout le monde nous casse la tête avec le bonheur d’être amoureux, la vie est belle, les oiseaux chantent, blablabla.
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