Ce matin à neuf heures mon téléphone sonne. Un meurtre a été commis au musée. Le directeur a été assassiné. Aussitôt je me rends sur les lieux du crime : le bureau du directeur. Tout a été laissé en place. Le directeur est étendu mort, un revolver près de sa main gauche. La thèse du suicide ne me paraît pas la plus évidente. Il s’agit assurément d’un meurtre. Je remarque, avant de quitter le bureau, la présence de gâteaux sur le bureau du directeur, il a donc pris un dernier repas, un dernier thé avant d’être assassiné.