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  Au cÅ“ur de Paris, il n’est pas facile de se faire de bonnes sorties pour un prix modeste. Pourtant, c’est en se baladant dans les petites rues que nous pouvons avoir de bien bonnes surprises. Paris, Vème arrondissement, quartier très populaire et cosmopolite qu’est Saint-Michel. On y trouve de petits restaurants nous faisant voyager, des bars animés, et des boîtes de nuit branchées. Et ce n’est pas tout.

C’est un film qui commence par la mort pour finir par la vie. Un film qui nous transmet une énergie, une envie de vivre, de liberté.

Loin, très loin du rêve américain, le roadmovie de Ford (tiré du roman de John Steinbeck), nous emmène dans le périple de la famille Joad, chassée de sa ferme d’Oklahoma à cause de leur endettement. Ils émigreront jusqu’en Californie où, selon un prospectus, on a besoin de bras pour la récolte des fruits.

« Vous avez vraiment besoin de cette voiture ? - Non. Mais je la veux. »

    Lorsque Pixar a annoncé en mai 2006 qu’il y aurait un Toy Story 3 alors que ce projet avait été annulé précédemment, la réaction la plus répandue fut celle du mépris. Pourquoi le mépris ? Parce que pour de nombreuses personnes ce nouveau film démontrait que Disney et Pixar n’étaient plus intéressés par le travail d’invention, mais voulaient simplement générer un maximum de bénéfices en exploitant une franchise déjà bien établie et aimée du public.
Mais comme l’a dit un des grands philosophes du XXIe siècle : « People are wrong ». Toy Story 3 n’est pas la simple suite d’une franchise à succès, mais un film à part entière qui fait honneur à Toy Story et à ses créateurs.

La pièce, Un tramway est une inspiration libre d’Un tramway nommé Désir de Tennessee Williams. Warlikowski, le metteur en scène nous présente un formidable travail d’actualisation afin de réinscrire la pièce dans notre époque, de notre côté de l’Atlantique.

D’après le scenario de Jaques Tati et porté à l’écran par Sylvain Chomet (réalisateur des Triplettes de Belleville), L’Illusionniste est une histoire touchante, pleine de poésie et de tendresse. Il s’agit de deux chemins qui se croisent. D’un coté Tatischeff, vieil illusionniste, chassé par le rock’n’roll  doit aller de plus en plus loin pour se produire, de l’autre, Alice jeune fille naïve rencontrée dans la compagne écossaise. Alice croit vraiment que le vieil illusionniste est un magicien, elle le suit jusqu’à Edimbourg où il les fait vivre.

Peut-on légitimer le crime politique ? Peut-on tuer pour des idées ?
 
Aujourd’hui comme jamais,  ces questions se posent. Stanislas Nordey réactualise ces interrogations à travers les terroristes des Justes.